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25 février 2019

Vous avez dit participation ?

 

Démocratie participative .Méfiez-vous des contrefaçons !

 Cette mandature aura été celle de la participation des habitants questionnés assez souvent mais sans changement majeur et bien peu de réalisations.

 En effet, les 16 mois de Pascal Beaudet, comme maire, ont été riches de concertation où d’ailleurs tous n’avaient pas la parole, ce qui avait été dénoncé dans ce blog.

 La question, c’est pourquoi ? Oui, pourquoi redemander une énième fois aux habitants ce qu’ils veulent ?

 Puisque le programme électoral riche de 30 engagements de Pascal Beaudet en 2014 englobait la plupart des sujets que l’on retrouve dans ce nouveau bilan. Certes Pascal Beaudet n’est plus maire mais les engagements pris pour l’élection en 2014 étaient portés par toute la liste. Ce qui revient à dire que si ce programme avait été mis en place, nous n’en serions pas à l’arrêt ou au ralenti sur ces problématiques que l’on retrouve dans les 23 engagements actuels.

A l’arrivée de Meriem Derkaoui, celle-ci aurait pu s’en tenir à ce que les citoyens avaient validé par leurs votes. Nous parlons ici des 30 engagements de la liste menée par Pascal Beaudet

Puis ce fut la nomination de Meriem Derkaoui par les conseillers municipaux de la majorité, nomination parfaitement légale mais qui prive les électeurs d’un choix plus démocratique et qui se sont retrouvés en quelque sorte trahis par ce départ  . Cette situation pose d’ailleurs la question de la légitimité réelle de notre maire actuelle.

Il fallut de nouveau prendre le pouls des habitants qui dans les réunions publiques ne pouvaient à eux seuls représenter la majorité des habitants et des 5 610 électeurs qui avaient voté pour cette liste et ses 30 engagements

Rappelons que lors du mandat de Jacques Salvator, un observatoire des engagements, géré par des citoyens indépendants, avait été mis en place pour juger, cinq ans après, où en étaient les engagements du programme électoral de 2008. Le résultat fut très largement positif. Ce qui d’ailleurs ne permet pas obligatoirement une réélection…

Dur, dur la démocratie participative, ce sera donc…

(A suivre...)

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Commentaires
B
Surtout que l'élue en question ne vit pas Aubervilliers mais Saint Denis ! beaucoup de magouilles à Aubervilliers.
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L
et on fait quoi avec Hafidi qui sous notre nez a obtenu pour son fils 1000 euros de denier public dans le cadre des projets pour les jeunes ! la c'est l'omerta on dit rien !
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G
Vous avez dit passe droit ? Il se dit que l'élu-e qui récupérerait la délégation à la petite enfance aurait bénéficié-e d'une place en crèche. Jusque-là, rien d'anormal si sa candidature correspond aux critères d'attribution retenus et qu'elle a été validée par la commission. Seul hic, l'intéressé-e aurait refusé cette place pour s'en faire attribuer une autre, plus à sa convenance, en se servant de ses appuis au conseil général ! Les familles sur liste d'attente apprécieront.
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G
Lu dans le Parisien <br /> <br /> <br /> <br /> Aubervilliers : l’adjointe à la petite enfance privée de sa délégation<br /> <br /> >Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis|N.R.| 31 mai 2019, 18h19 |0<br /> <br /> Aubervilliers, ce vendredi 31 mai. La maire (PCF) reproche à son adjointe d’avoir usé de son statut pour obtenir une place en crèche. LP/N.R.<br /> <br /> Meriem Derkaoui a retiré sa délégation à son adjointe à la petite enfance. Elle lui reproche un conflit d’intérêts.<br /> <br /> Leïla Tliti n’est plus adjointe à la petite enfance. Meriem Derkaoui lui a retiré sa délégation. La maire (PCF) l’a fait savoir il y a dix jours à l’intéressée. Le lendemain dans un courrier envoyé à l’ensemble des élus, Meriem Dekaoui a accusé son adjointe de conflit d’intérêts. « Madame Tliti a usé de son mandat pour satisfaire un besoin personnel aux dépens de la population […] L’équité, la justice, la probité constituent pour moi une boussole. »<br /> <br /> En cause, le dépôt par l’adjointe à la petite enfance d’un dossier de place en crèche pour son troisième enfant. « Elle s’apprêtait à s’attribuer une place lors de la commission qu’elle préside », dénonce la maire. Elle lui reproche également d’avoir fourni « des déclarations contradictoires » et de ne pas correspondre aux critères d’attribution, parmi lesquels, résider sur Aubervilliers.<br /> <br /> L’adjointe conteste ces accusations<br /> <br /> « J’ai été étonnée de cette convocation », confie Leïla Tliti. Quelques jours après le clash, l’élue campe sur sa position et refuse de démissionner. Elle repousse en bloc les accusations. « Je n’ai usé d’aucun passe-droit. J’ai déposé un dossier avec toutes les pièces. » Elle explique avoir suivi la procédure : « Mon dossier a été examiné devant la précommission que je ne préside pas. Je n’ai pas obtenu de place. Mon enfant a été mis sur une liste d’attente. »<br /> <br /> Ensuite le dossier est arrivé entre les mains de la commission d’admission à un mode d’accueil (Cama) qui doit rendre la décision finale. « Je ne suis pas seule à présider la Cama, je la codirige avec la directrice du service petite enfance de la ville et du département », explique Leïla Tliti. Quant à son lieu de résidence, l’adjointe reconnaît « ne pas habiter Aubervilliers, mais Saint-Denis », précisant : « toutes les familles ont le choix de s’inscrire dans quatre villes pour une demande en crèche départementale ». <br /> <br /> La Gauche communiste répond dans une lettre ouverte<br /> <br /> Lors de cette commission, la deuxième de l’année, 556 demandes ont été formulées et 289 places ont été attribuées dans des crèches municipales, départementales ou associatives. A Aubervilliers, ce secteur reste très tendu. Le taux de couverture de l’accueil en crèche (NDLR : dossiers satisfaits) n’est que de 23 % contre 32 % au niveau départemental et 57 % sur le plan national.<br /> <br /> Au final, l’élue dit ne pas comprendre le procès qui lui est fait : « En tant qu’élue, je n’ai pas plus ni moins de droits que les autres. La maire m’attaque à des fins politiques ». C’est aussi la traduction qu’en a faite Jean-Jacques Karman. <br /> <br /> Le patron de la Gauche communiste (huit élus) auquel appartient Leïla Tliti s’est fendu d’une lettre ouverte cinglante : « Je m’étonne de l’emballement avec lequel la maire a agi. J’espère que cette démarche n’est pas liée au fait que j’ai lancé un appel pour améliorer, dans l’union, la vie des habitants d’Aubervilliers qui a reçu l’approbation à ce jour de 736 personnes ».<br /> <br /> Le PS en observateur<br /> <br /> Dans les rangs de l’opposition socialiste, on compte les points : « Après Sofienne Karroumi (NDLR : l’adjoint qui a perdu sa délégation à l’enseignement en novembre), la majorité explose de nouveau », constate Evelyne Yonnet.
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T
La question que l'on se pose en lisant votre blog. Qui êtes-vous Albertiviĺlarien, quel est votre parti ou au moins votre ex-parti . Votre pseudo cache t-il une ou plusieurs personnes ? Parmi les nombreuses  listes qui se présentent aux municipales, laquelle soutenez -vous ? Certes on peut se  gausser de la démocratie  participative municipale , mais il serait plus démocratique de savoir quelle '' sensibilité '' le fait . Cela me fait penser à  la parabole : ''voir la paille dans l'œil de son voisin et ne pas voir la poutre qui est dans le sien''. Alors clarifier votre positionnement certes en restant anonyme !
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