Au nom du (beau) père...

Ma petite entreprise…

C’est ainsi que l’on aurait pu sous-titrer la une de la dernière livraison d’Aubermensuel.

Je me suis interrogé sur le message subliminal de cette couverture. Pourquoi mettre en une Thomas et son père ?

Uniquement pour leur talent à tous les deux et les bons moments qu’ils font passer à leurs spectateurs. Pour le beau festival qui nous est offert chaque année?

Non, cela ne pouvait être aussi simple.

C’est alors que j’ai repensé à notre nouveau maire : en effet, la photo choisie aurait pu être celle de notre nouveau maire et de son beau-père. L’un est bien à l’origine de la fonction actuelle de l’autre.

Dans un deuxième temps me vient alors l’image de celui qui figurait dans la liste bicéphale de 2008 et à la troisième place (parité oblige) en 2014. Celui dont le père a été maire. Celui qui utilise toujours le nom de son géniteur, à défaut d’avoir son talent, pour se mettre en avant et apparaître comme un dauphin possible. Il l’a d’ailleurs tenté en 1995 puis en 2001. Avec un maintien au deuxième tour contre Ralite. Maintien qui a failli offrir les clefs de la ville au bon docteur Augy et ainsi faire passer la ville a à droite alors que la gauche dépassait les 65 %.

Voilà donc le message de cette première de couverture. Légitimer les deux fils avec la présence de leur père ou beau-père.

Rien à voir avec ce qu’on pourrait voir dans un premier temps et auquel il n’y aurait rien à redire.

Vous avez dit népotisme ? Comme c’est bizarre…

(A suivre …)